Infolettres récentes

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La vraie nature de Gilles Carle

Exposition sous la présidence d’honneur de Réjean Hébert
Artiste invité Pierre Dury photographe

Mon désir d’exposer ses œuvres picturales s’est manifesté deux ans avant son décès. Nous en parlions souvent, Gilles et moi. Sur son lit d’hôpital, je lui ai demandé : « Mon amour, veux-tu toujours que je fasse connaitre tes dessins et photographies ? » En guise de réponse, un battement des paupières m’a révélé son rêve de voir sortir de l’ombre l’entièreté de son œuvre. Oui, il le souhaitait aussi vivement que moi.

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N’y a-t-il plus que mourir qui puisse se faire dans la dignité?

Chloé avait vu juste ou L’art d’aider les aidants

Les coupures en santé ont un impact direct sur la population. On reste parfois accroché à une image antérieure du système et on nourrit le déni. J’aimerais partager avec vous ce que je vis pour que nous puissions, ensemble, mieux voir ce qui vient.

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Du répit pour les proches aidants, ça presse !

Aucun hébergement de répit pour soutenir les aidants de Montréal, ce n'est pas tolérable! Ce type de répit est une condition essentielle du maintien à domicile des personnes en perte d'autonomie. « Les premières années, on fonce, on fait face à l’adversité. Mais ensuite? »

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Actualité récente

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Proches aidantes: aider sans y laisser sa peau

Il y a 5 ans, lorsque sa mère a commencé à se répéter et à poser plusieurs fois les mêmes questions, Linda Charron s’est inquiétée. Et, malheureusement, ses craintes se sont confirmées: Pierrette, alors âgée de 72 ans et qui était dans une forme physique redoutable, commençait à avoir des problèmes cognitifs.

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Les proches aidants coincés dans les limbes du système d’assurance-emploi

Sans revenu depuis trois mois parce qu’elle doit s’occuper à temps plein de sa fille handicapée, à qui l’on vient de diagnostiquer un cancer, une mère réclame une bonification du programme d’assurance-emploi pour les proches aidants. Un cas qui est loin d’être unique — et qui témoigne de la nécessité d’adapter le soutien financier aux proches aidants, selon plusieurs organismes.

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Une troisième Traversée d’Érik pour soutenir les proches aidants

Pour une troisième année, Érik Goudreault traversera le fleuve Saint-Laurent à la nage entre Trois-Rivières et Bécancour au profit de l’Association des personnes proches aidantes de Bécancour-Nicolet-Yamaska (APPABNY).

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Découvrez le Chant pour l’Humanité Aidante,
l’hymne officiel de la Fondation Maison Gilles-Carle. 


À travers cette pièce vibrante, Chloé Sainte-Marie rend un hommage

bouleversant à la communauté des personnes proches aidantes.

 

Puisse ce Chant apporter baume et mansuétude aux aidant(e)s et aux aidé(e)s.

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Témoignages

Avant l'arrivée de la Maison Gilles-Carle de Boucherville, je me voyais partir. Je ne me sentais plus apte à prendre soin d'Adrien, alors que je peux encore le faire.

Maintenant, Adrien vient à la Maison Gilles-Carle de Boucherville chaque mois pendant 14 jours. Durant ce temps, je peux prendre soin de moi, pour ensuite mieux prendre soin de lui. J'ai l'impression de revivre ! J'ai retrouvé des amis, j'ai retrouvé la santé, je profite encore du temps... Je me sens utile. 

Si on n'avait pas la Maison Gilles-Carle de Boucherville, on serait encore bien loin de nos espoirs. Avec elle, on peut continuer encore un bon bout. J'espère de tout mon cœur qu'il y en aura plusieurs autres, pour que plus de gens puissent en profiter.

 

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Ginette Campeau

J'ai eu des moments difficiles... Il y a eu de la détresse aussi. Heureusement que j'ai eu le soutien de la Maison Gilles-Carle Brome-Missisquoi. La Maison Gilles-Carle Brome-Missisquoi m'a sauvée. C'est comme une grosse famille d'accueil, avec plein d'intervenants – des spécialistes !   

J'ai aussi rencontré d'autres personnes proches aidantes ici. C'est incroyable ... Ça fait du bien d'échanger.

 

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Lucie Lacroix

Je tentais de travailler en même temps que je m'occupais de ma mère. Je dormais chez elle 4 à 5 fois semaine. Je ne voyais plus ma famille, je ne voyais plus mes deux filles. Et même quand je revenais à la maison, je pensais toujours à ma mère. Être proche aidant, c'est un travail à temps plein. C'est plus que 24 heures.  Je n'avais plus de vie. Et même le docteur de ma mère me disait : "Toi, tu vas partir avant elle, si tu n'arrêtes pas." C'était des moments difficiles.

La Maison Gilles-Carle Évasion m'a aidé énormément. J'ai pu avoir des fins de semaine avec ma famille, et penser un peu à moi. Wow, je pouvais vivre un peu ! Ma mère a été reçue les bras ouverts. C'est une autre famille ! Je pense que la Maison Gilles-Carle est la seule ressource qui est allée au-delà de mes attentes. C'était comme le paradis ! 

 

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Biagio Pagano

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